Ceux qui me fréquentent savent à quel point j’adore rire, j’apprécie et respecte, à cause de la vanité des choses et de la prééminence de la fragilité humaine, les artisans de l’humour qui, pour répéter cet auteur russe dont j’ai oublié le nom, est «le stade suprême de l’intelligence».